- J’utilise l’eau de lavage des légumes pour arroser mes plantes ou mon jardin.
Je choisis des végétaux résistants à la chaleur. - Je n’arrose pas la pelouse qui reverdira toute seule en période de pluie.
- J’utilise de l’eau de pluie pour arroser mes plantes et j’opte pour des techniques économes en eau comme le goutte-à-goutte, le paillage ou l’herbe coupée lors des fortes chaleurs pour conserver l’humidité du sol…
- J’utilise des engrais naturels, les engrais qui contiennent des pesticides sont massivement employés en agriculture. Mais pour rester potable, l’eau ne doit pas en contenir plus de 0.5 microgrammes par litre. Les jardiniers amateurs sont tout de même la source de 25 % de la pollution des nappes souterraines. J’utilise donc des déchets organiques (nourriture, branchages, herbe tondue…) pour un engrais entièrement naturel.
- Je n’utilise pas d’insecticide dans mon jardin, un simple jet d’eau permet de faire tomber la plupart des insectes des plantes.
- J’arrose le soir, cela réduit les pertes dues à l’évaporation (5 à 10 %)
Récolter l’eau de pluie
La gestion des eaux pluviales est régie par le Code Civil (articles 640-641-681), qui indique que « tout propriétaire a le droit de disposer et d’user des eaux pluviales qui tombent sur son fond ».
Autrement dit, l’eau qui tombe sur votre terrain vous appartient !
L’eau de pluie peut être récoltée dans une citerne ou même simplement dans un tonneau.
L’eau de pluie légèrement purifiée peut servir à l’arrosage du jardin, au lavage de la voiture, au nettoyage de la maison, à faire la lessive… et permet d’économiser des centaines de litres d’eau par an.
De plus, l’eau de pluie, plus douce, permet l’utilisation de savons naturels à la place de détergents et rend inutile l’usage d’adoucissants chimiques.